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Vanessa Laborde

  • VANESSA LABORDE
  • Vanessa Laborde est peintre et photographe. Elle vit à Toulouse. Elle a étudié les arts aux Beaux arts de Tarbes et à l'Université de Toulouse II Le Mirail. Aux côtés de  Karine Saporta elle révèle ses talents de peintre et d'infographiste.
  • Vanessa Laborde est peintre et photographe. Elle vit à Toulouse. Elle a étudié les arts aux Beaux arts de Tarbes et à l'Université de Toulouse II Le Mirail. Aux côtés de Karine Saporta elle révèle ses talents de peintre et d'infographiste.
14 décembre 2008 7 14 /12 /décembre /2008 14:44

Présentation

Qui sommes-nous ? 

« Je suis comme je suis »

« C’est parce que je suis moi, singulièrement moi, que je peux révéler la pluralité de mon être au monde ».

Deux mots de Jacques Prévert, et Hannah Arendt qui résonnent en chacun de nous. Cependant il est une autre question qui nous travaille :

« D’où viens-tu ? ». Je réponds : femme et Pyrénées, parce que je pense à la transmission d’une culture, celle qui m’a constituée et qui se confronte à celle d’aujourd’hui, suscitant en moi des interrogations : quelle est la place de la femme dans une société, dans une culture… ?

Comment, à notre époque, peut-on percevoir un personnage qui serait homme ou femme, ou un peu les deux, soupe au lait, aux valeurs d’égalité, de gentillesse, ayant le sens de l’accueil, aimant le jeu et l’art pour séduire, vivre et transmettre ?

Les réponses sont peut-être dans l’éclat d’une vie, dans l’éducation à la beauté, à la liberté.

A travers cette série de peintures « Mémoire pyrénéenne », je veux transmettre l’imaginaire de ma vision singulière de l’univers du peuple des gentils. Je suis un de ces êtres (on pourrait dire monstre) tout droit sortie de légendes païennes : beauté, violence, mélancolie.

Une imagerie simple aux couleurs chatoyantes, des êtres pleins de contrastes, beaux, gentils, au langage fleuri et violent, soupe au lait.

Tableaux naïfs chargés en symboles : contes et légendes pyrénéennes.

Chacun d’eux est le reflet d’une petite et d’une grande histoire. Elle nous est commune. Je veux la symboliser, la transmettre.

 

Les tableaux

 

Au-travail.jpgEsprit malin

DSC00307.JPGvie et mort-copie-1

 

 dame blancheAU VERGER


 


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23 octobre 2005 7 23 /10 /octobre /2005 00:00

Présentation :  série de peintures sur le thème de la gémellité.

               Un regard ontologique emprunt de mythes et légendes


 

 

 

 

 

 

 

 

 

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23 octobre 2005 7 23 /10 /octobre /2005 00:00

Présentation :

Une série de peintures qui sont librement inspirées des figures gémellaires de la mythologie grecque et romaine : Apollon et Artémis, Castor et Pollux. 

 

 

 

 

 

 

 

 

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23 octobre 2005 7 23 /10 /octobre /2005 00:00

PrésentationLes peintures présentées ici retranscrivent l’éclat du corps dansant : c’est-à-dire le phénomène le plus haut de l’intensité qui surgit entre le corps du danseur et celui du spectateur.

C’est une série de tableaux qui symbolise donc cet état de fusion entre ces deux corps : un entre-deux qui devient unité pour un moment. Cet éclat opère sur différents plans : couleur, lumière, matière, temps, espace.

Le travail sur la danse et l’éclat cherche une  cristallisation dans la peinture. Mais l’éclat du corps dansant est éphémère et changeant : il surgit sous une forme avant de réapparaître sous une autre.

Cette série de peintures est donc née d’une tentative folle de capturer ce mouvement en lui donnant une forme « achevée ». C’est une entreprise paradoxale : alors que dans la danse l’éclat surgit soudain dans l’instant pour se développer et nous éblouir avant de se contracter, attirant le spectateur « hors du temps », la peinture tente de le faire apparaître progressivement et de le fixer « dans le temps ».

Dans un mouvement d’expansion et de disparition soudaines comparable à celui d’une supernova, l’éclat pictural vise à porter le regard à son plus haut point d’intensité, à une véritable « brûlure du regard». Mais cela ne se fait pas sans affecter l’espace pictural : le corps représenté tend désormais vers l’abstraction, les formes se courbent, et alors que le corps dansant apparaissait dans son unicité et dans la distance, sa représentation le montre proche et enveloppant. Cette dialectique vise à faire revivre l’expérience de la fusion entre le corps qui danse et le regard du spectateur qui l’accompagne. Il s’agit de restituer le trouble qui s’empare des êtres face à la séduction et à l’éclat  du corps humain.

                   


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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